Non à la christianophobie : défendons le Christ !
L’art moderne offre l’exemple accompli
de la dégénérescence, de la décomposition,
du nihilisme et de la mort.
Nous l’avons déjà dit et écrit cent fois, l’art contemporain est une maladie, le symbole d’un monde malade et dégénéré. L’art contemporain, sous ses diverses dénominations et expressions : de la sculpture en passant par la photographie, la peinture, le théâtre ou la musique, est une escroquerie de premier ordre, un brigandage honteux, une fumisterie sans nom.
Son moteur est la provocation – de préférence antichrétienne car c’est celle qui ne fait pas encourir de grands risques mais rapporte gros - car avant toute chose l’art contemporain c’est le marché, le fric, le pognon, les sommes faramineuses, souvent provenant de l’Etat par le biais des subventions, circulant entre les galeristes, les musées, les théâtres, les festivals et les prétendus « artistes ». Tout ce petit monde, qui profite, se graisse et se délecte de la combine, est à la tête d’une gigantesque mécanique perverse parfaitement orchestrée, relayée par des médias complices, une classe politique soumise et une Eglise démissionnaire.
I. Les racines de l’art dégénéré
Ceci nous le savons depuis longtemps, le monde moderne et son spectacle nous offrent, l’un et l’autre, l’exemple accompli de la dégénérescence, de la décomposition, du nihilisme et de la mort. Nous vivons un temps où la corruption, notamment en art, a atteint des niveaux absolument incroyables, et la seule réponse qu’il convient d’avoir en forme d’ultime réaction salvatrice avant que tout ne s’effondre face à cette infection généralisée est très simple, et ne nous pose d’ailleurs aucune difficulté à l’énoncer clairement : Autofadé !
Le Sauveur du monde ou «Salvator Mundi»,
d’Antonello da Messina (1430-1479), sert de toile de fond
au « spectacle » blasphématoire de Romeo Castellucci.