Brasillach : Le Pari de la Jeunesse
"J'ai pu me tromper sur des hommes, sur des faits ou sur des circonstances, mais je n'ai rien à regretter de l'intention qui m'a fait agir."
Robert Brasillach
Ce jeune homme brillant monté à Paris pour devenir le plus grand critique littéraire de son temps est né en 1909 à Perpignan; ce qu'il nous reste de Robert Brasillach, ce sont ces romans touchants: "Comme le temps passe...", ces pièces de théâtre, ces critiques des plus grands auteurs de son temps mais surtout ce qu'il nous reste de Brasillach c'est l'éternelle jeunesse prise dans la tourmente des révolutions.
Brasillach c'est la jeunesse qui parle à la jeunesse et qui lui dit qu'il est bon de mourir pour sa patrie quand le danger menace, c'est la jeunesse sûre de sa force, certaine de sa bonne Foi, sans peur et qui dit "Je m'en fous!" quand approchent le bourgeois, le gauchiste et tout ce qui pollue notre sol depuis bientôt un siècle et demi.
Oui il fut de ceux qui prononcèrent ce "Me ne frego, je m'en fous!" crié par toute une jeunesse allant de Berlin à Rome et qui avait fait le pari de renverser tout cet ordre bourgeois qui avait corrompu les âmes et les coeurs.
Oui Brasillach avait fait le pari de la jeunesse du monde et du printemps des peuples d'Europe contre le dépérissement et la déliquescence des moeurs initiée par le grand cosmopolitisme capitaliste.
Et Brasillach a perdu comme toute une jeunesse sâcrifiée sur les champs de bataille d'Europe et de France, on l'a fusillé ce 6 février 1945 au fort de Montrouge comme un brigand et il a crié à la salve qui fauchait ses 35 ans : "Vive la France!"
Comme Brasillach, nous crions "Vive la France!" et nous le crions face aux bureaucrates de Bruxelles affiliés aux loges et asservis au mondialisme américano-sioniste qui veulent nous tuer comme ils ont tué Brasillach.
Brasillach c'est l'exemple de l'Intelligence, du Courage face à l'adversité, c'est le Pur chrétien qui monte à l'échafaud auréolé de son innocence.
Brasillach c'est aussi la saint Violence qui doit nous animer en cette période où le monde n'est plus qu'un vaste ghetto.
Relisons-le car sa plume était acérée comme un poignard et il en a trucidé des salopards vendus à l'étranger...
Brasillach! Présent!