Comment ils ont désinformé
Voilà encore un procédé pas très catholique, puant le fiel journalistique, la haine anticatholique, et abusant de l'innocence et de la pureté de nos enfants, et de la bonté et de la charité de nos prêtres.
Mentir et tromper leurs méthodes séculaires. Comment peut on par haine aveugle avoir l'outrecuidance ignominieuse d'abuser d'un prêtre.
Quand on sait l'amour des âmes qu'ils ont et la volonté de faire le bien par amour de Dieu, le temps qu'il faut pour préparer un adulte a recevoir la grâce,comment pouvait on imaginer une telle hardiesse dans la tromperie, une telle tromperie ne peut être que diabolique.
France 2, chaine du service public aux mains du Prince de ce Monde, aux mains de l'international judéophile, aux bottes des loges, et enfin financée par le contribuable dont il faut le rappeler, une bonne partie est catholique ...
L'amour du faux, le rejet du beau, le règne de Satan, où allons nous?
Notre Dame de France Priez pour nous !
VU sur http://www.riposte-catholique.fr/?p=6146
Comment France 2 a poussé aux dérapages.
Selon nos informations, le journaliste envoyé par Capa Télévision enquêter chez les catholiques de tradition à Bordeaux pour le compte de France 2 se faisait appeler Mathieu Maye.
Il est devenu catéchumène avec l’abbé Berche pour les besoins de son reportage mais a disparu 15 jours avant le baptême…
Au bout de plusieurs mois de catéchuménat, Mathieu a proposé son aide à l’école hors-contrat rattachée à Saint-Eloi pour surveiller l’étude à la fin des cours (donc après le départ des professeurs et du directeur). Il a alors eu 5 à 6 collégiens sous sa surveillance pendant plusieurs semaines.
Selon un ancien élève de 3ème, le faux surveillant et vrai journaliste a tenu des discours clairement racistes et raconté de nombreuses blagues racistes et antisémites. Manifestement dans le but de pousser les ados présents à en rajouter pour se faire bien voir du surveillant. Ce qui lui a permis de les filmer en train de le faire au moyen d’une caméra cachée.
Est-ce une méthode d’enquête honnête que de pousser coûte que coûte des jeunes à la faute ? Arthur Leroy