Stop à la décadence gay !
Ce sera toujours une abomination
Lévitique 18:22
- Tu ne coucheras point avec un homme, comme on couche avec une femme; c'est une abomination.
- Tu n'auras commerce avec aucune bête pour te souiller avec elle; une femme ne se prostituera point à une bête; c'est une abomination.
- Ne vous souillez par aucune de ces choses; car c'est par toutes ces choses que se sont souillées les nations que je vais chasser de devant vous.
- La terre en a été souillée; et je punirai sur elle son iniquité, et la terre vomira ses habitants.
- Mais vous, vous garderez mes lois et mes ordonnances, et vous ne ferez aucune de ces abominations, ni celui qui est né au pays, ni l'étranger qui séjourne au milieu de vous.
- Car toutes ces abominations, les hommes du pays, qui y ont été avant vous, les ont faites et la terre en a été souillée.
Et la terre ne vous vomira pas, pour l'avoir souillée, comme elle a vomi la nation qui y était avant vous. Car tous ceux qui feront quelqu'une de toutes ces abominations, seront retranchés du milieu de leur peuple. Vous observerez donc ce que j'ordonne, afin de ne pratiquer aucune des coutumes abominables qui ont été pratiquées avant vous, et vous ne vous souillerez point par elles. Je suis l'Éternel, votre Dieu.
Dans son célèbre catéchisme, le jésuite saint Pierre Canisius (1521-1597), Docteur de l’Église, résumait ainsi l’enseignement de l’Église : « Ainsi que le dit l’Écriture Sainte, les sodomites étaient des gens très mauvais et même trop pécheurs. Saint Pierre et saint Paul condamnent ce néfaste et abject péché. En effet l’Écriture dénonce l’énormité d’une telle obscénité avec ces mots : «Le scandale des sodomites et des gomorrhiens s’est multiplié et leur péché s’est trop aggravé». Pour cela les anges dirent au juste Loth, qui abhorrait profondément les turpitudes des sodomites : «Abandonnons cette ville, etc.» ( ... ) L’Écriture Sainte ne tait pas les causes qui poussèrent les sodomites à commettre ce péché très grave et qui pourraient pousser aussi d’autres hommes. Nous lisons en effet dans le Livre d’Ezéchiel : «Voici quelle fut la faute de Sodome ta sœur : orgueil, voracité, insouciance tranquille, telles furent ses fautes et celles de ses filles ; elles n’ont pas secouru le pauvre et le malheureux, elles se sont enorgueillies et ont commis l’abomination devant moi, aussi les ai-je fait disparaître, comme tu l’as vu» (Ez. 16, 49-50).
De cette turpitude jamais suffisamment exécrée sont esclaves ceux qui n’ont pas honte de violer la loi divine et naturelle » (Saint Pierre Canisius, Summa Doctrina Christiana, III a/b, p. 455).
La condamnation des Papes et des Conciles
Saint Pie V : « l’exécrable vice libidineux contre nature »…
« En 305, le Concile d’Elvire, en Espagne, demanda par le canon 71 «qu’aux pédophiles», soit refusée la sainte communion, même s’ils se trouvent en danger de mort (cf. Canones Apostolorum et Conciliorum, pars altera, p. 11). Les pénitences prévues par le Droit Canonique furent fixées en 314 au Concile d’Ancyre, canon 16.
« Le XVIe Concile de Tolède qui se tint en 693, condamna par le canon 3 la pratique homosexuelle comme un véritable crime en soi, passible de sanctions juridiques : le clerc était réduit à l’état laïc et condamné à l’exil à perpétuité, le laïc lui, était excommunié, et après avoir été flagellé, était également exilé (Conciliorum œcumenicorum collectio, vol. XII, col. 71).
« Plus autorisée encore fut la sentence du IIIe Concile œcuménique du Latran qui, en 1179, au IIe canon, établit que «quiconque aura été reconnu coupable de s’adonner à l’impureté contre nature qui a provoqué la colère de Dieu sur les fils de rébellion (Ep. 5, 6), et consumé cinq villes dans le feu (Gn. 19, 24-25) sera, s’il est clerc, expulsé du clergé et relégué dans un monastère pour y faire pénitence ; s’il est laïc, excommunié et totalement retranché de la communion des fidèles» (Décrets du IIIe Concile du Latran, in R. Foreville, Latran I, II, III et Latran IV, p. 216).
Le grand et Saint Pape Pie V de l'ordre de Saint Dominique par deux Constitutions condamna solennellement et interdit sévèrement le péché contre nature.
Puisque nous avons orienté notre âme à enlever tout ce qui peut offenser de quelque manière la divine majesté, nous avons établi de punir avant tout et sans délai toutes les choses qui, soit pour l’autorité des Saintes Écritures soit pour les exemples très graves, semblent déplaire à Dieu plus que toute autre et le poussent à la colère : soit la négligence du culte divin, la ruineuse simonie, le crime de la bestialité et l’exécrable vice libidineux contre nature ; fautes pour lesquelles les peuples et les nations sont flagellés par Dieu, pour une juste condamnation avec des catastrophes, des guerres, la faim et la peste. (…)
« Si quelqu’un commet ce crime infâme contre nature, pour lequel la colère divine frappa les fils d’iniquité, il sera livré au bras séculier pour être puni et si clerc, il sera soumis à un châtiment analogue après avoir été privé de tout grade ecclésiastique »(Saint Pie V, Constitution Cum primum, du 1er avril 1566, Bullarium Romanum).
« réprimer un tel crime avec le plus grand zèle possible »
« Cet affreux crime à cause duquel les villes corrompues et obscènes furent brûlées par condamnation divine, marque d’une douleur poignante et ébranle fortement notre âme, nous poussant à réprimer un tel crime avec le plus grand zèle possible.