Le Coran provoque à la haine et à la violence ! (publié par LA QUESTION)
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“Le Coran, la loi de l’islam, provoque à la haine et à la violence !”
- Mgr Marcel Lefebvre, le 12 mai 1990 -
Alors que toutes les voix de la bonne pensée politico-médiatique s’élèvent pour prévenir qu’il ne faut surtout pas créer des amalgames entre les crimes commis par le djihadiste Mohammed Merah et l’islam, il est bon de rappeler, car nous le devons à la vérité – alors que nous partageons néanmoins nombre de critiques à l’encontre du monde moderne et sa désorientation avec nos frères musulmans, et que par ailleurs nous sommes conscients de l’identité et des intentions de ceux qui cherchent à opposer les communautés les unes contre les autres - que l’essence de la haine et de la violence aveugle se trouve cependant au coeur même du Coran.
Il n’est pas besoin d’aller chercher des causes externes au geste fou du jeune “français” (sic) d’origine algérienne, le logiciel pervers ne se trouve nulle part ailleurs que dans la doctrine de Mahomet ; doctrine hérétique, mensongère et antichrétienne forgée par des juifs ébionites et diffusée auprès des populations arabes que les rabbins souhaitaient “préserver” du christianisme.
I. Les racines du Coran
Si dès 1874, Adolph von Harnack, découvrait que « le mahométisme n’était probablement qu’une lointaine dérivation de la « gnose judéo-chrétienne », et non comme il le prétendait une « religion nouvelle », ce sont pourtant les travaux d’Hanna Zakarias (+1959), fondateur de l’Institut Sainte-Sabine à Rome, membre de la section historique de la Sacrée Congrégation des Rites, qui à la suite de trente années d’un considérable travail érudit et minutieux, révéla que Mahomet (Mohamed) ne pouvait en aucun cas être l’auteur du Coran, ce dernier provenant en réalité d’un religieux, en l’occurrence sans doute, un judéo-chrétien appartenant à une communauté juive ébionite niant la divinité du Christ et farouchement antitrinitaire.
De son côté, si Mgr Lefebvre, qui connaissait bien la question musulmane et des sources de Mahomet, s’éleva très souvent contre la complaisance vis-à-vis du judaïsme et les faiblesses de l’Eglise conciliaire à l’égard des religions non chrétiennes considérées de façon irréalistes par Vatican II - religions non chrétiennes dont on sait d’ailleurs l’énorme pénétration qu’elles ont réalisée en Occident depuis plusieurs décennies à la faveur d’un grande trouble des esprits conséquence d’une perte terrifiante des fondements essentiels de la Foi - il insista tout particulièrement en raison de sa longue expérience sur le danger très important que représentait l’islam sur le plan social et politique pour une chrétienté aujourd’hui si éloignée vis-à-vis de la Tradition catholique.
“Tant que les Musulmans sont une minorité dans un pays chrétien, ils peuvent vivre amicalement parce qu’ils acceptent les lois et les coutumes du pays qui les reçoit. Mais dès qu’ils sont nombreux et organisés, ils deviennent agressifs et veulent imposer leurs lois hostiles à la civilisation européenne.”
- Mgr Marcel Lefebvre -
II. Le danger de l’islam selon Mgr Lefebvre
A cause de l’affirmation de ses positions en la matière, qu’il soutint avec une certaine vive fermeté, la LICRA, indignement et de façon totalement scandaleuse, traîna Mgr Lefebvre en 1990 devant la justice, alors qu’il mettait sévèrement en garde contre l’érection, soutenue par l’Etat républicain et laïc, de nombreuses mosquées, et qui, dans ce domaine comme dans bien d’autres, oeuvrait à contribuer, plus encore et comme s’il en était besoin, à la lente disparition du tissu spirituel chrétien en France.
Le 12 Mai 1990, suite à ces poursuites infâmes, Mgr Lefebvre déclarait :
« Le Coran, qui est la loi de l’Islam, provoque à la discrimination, à la haine et à la violence. Ne m’attribuez pas ce que je dénonce. Les preuves de cette haine et de cette violence sont légions dans le passé et dans le présent. Tant que les Musulmans sont une minorité insignifiante dans un pays chrétien, ils peuvent vivre amicalement parce qu’ils acceptent les lois et les coutumes du pays qui les reçoit. Mais dès qu’ils sont nombreux et organisés, ils deviennent agressifs et veulent imposer leurs lois hostiles à la civilisation européenne. Les exemples abondent. Demain ils seront maires de nos communes et transformeront nos églises en mosquées […] Me condamner comme raciste parce que je cherche à protéger ma patrie menacée dans son existence et ses traditions chrétiennes, ce serait se servir de la justice pour l’injustice, ce serait la justice au service des bourreaux contre les victimes qui ont tout juste droit de périr en se taisant. Ce serait le comble de l’injustice. »
Admirable plaidoyer évidemment, pertinente analyse, quasi visionnaire de l’ancien évêque de Tulle qui avait parfaitement compris la menace que représentait l’islam.
III. Nature réelle de l’islam
Mais pour mieux s’imprégner de la pensée de Mgr Lefebvre, qui fut tout de même Archevêque de Dakar et vicaire apostolique pour l’Afrique Française et qui donc savait de quoi il parlait pour avoir vu de près ce que signifiait la domination de la loi du Coran, rien n’est plus utile que de relire les retranscriptions des cours qu’il donna en 1980 et 1981 à Ecône auprès des séminaristes qui se destinaient à la prêtrise.
Ces textes, réunis dans une ouvrage posthume : C’est moi l’accusé qui devrait vous juger, montrent en quoi les thèses modernistes du Concile de Vatican II, décelables en particulier dans la Déclaration Nostra Aetate, sont absolument ignorantes de ce qu’est véritablement l’islam sur le plan concret, et profèrent des absurdités considérables au sujet de la nature de la religion de Mahomet.
Voici donc quelques passages significatifs de Mgr Lefebvre qu’on lira avec attention :
« Je me suis trouvé pendant quinze ans à Dakar avec trois millions de musulmans, cent mille catholiques et quatre cent mille animistes, et si pendant ces quinze ans on a pu convertir dix musulmans, c’est un maximum. Je veux dire les convertir vraiment, les faire passer de l’islam au catholicisme. Je ne dis pas qu’il n’y ait pas eu une certaine influence catholique grâce à nos écoles où nous avions jusqu’à 10 à 15% de musulmans. Je n’en voulais pas davantage, sinon ils auraient imposé l’islam dans nos écoles. Une fois qu’ils sont forts, ils s’imposent, prennent la tête du mouvement et essayent de convertir les autres. Quand ils sont faibles, ils écoutent et se taisent. Les jeunes gens qui ont été dans nos écoles ont certainement été influencés, peut être certains d’entre eux ont-ils désiré le baptême c’est très possible. Mais c’est très difficile pour un jeune homme de se convertir au catholicisme, car il est chassé de sa famille, il sait qu’il risque même d’être empoisonné. […] Il n’y a que ceux qui sont étudiants en université qui arrivent à se convertir parce qu’ils sont indépendants. Ils savent que leur avenir est assuré; dont ils n’ont plus besoin de leur famille et partiront en Europe, ils peuvent se convertir. Mais convertir quelqu’un qui est dans sa famille, c’est pratiquement impossible. En inspirant la religion islamique; le démon a véritablement empêché la conversion de millions d’hommes »
“Si les libertés étaient accordées aux musulmans, c ’est la polygamie qu’il faudrait admettre dans les Etats. L’islam, (…) c’est la menace de la soumission, c’est à dire de « Dhimmi »”
IV. L’islam c’est la soumission
Mre Lefebvre précisait s’agissant de la croissance dangereuse de l’islam sur le sol français :
« Et si toutes les libertés étaient accordées aux musulmans, c ’est la polygamie qu’il faudrait admettre dans les Etats. L’islam, ce n’est pas seulement les prosternations à genoux que les musulmans font dans les rues au moment de la prière; c’est aussi la menace de la soumission, c’est à dire de « Dhimmi » pour tous ceux qui ne sont pas comme eux. Peut-on admettre cela dans les Etats catholiques? Peut-on admettre que ces Etats ne se défendent pas ? »
Conclusion
Il ne convient pas de mésestimer le problème, et les aveugles qui nous gouvernent, ayant encouragé, oeuvré et favorisé une immigration massive de populations musulmanes, sont aujourd’hui totalement dépassés par un phénomène qui se retourne contre eux et qu’ils sont incapables de maîtriser. Lorsqu’on voit qu’un seul fanatique peut, en quelques jours, en effet mettre l’Etat français à genoux et en situation de crise extrême, on mesure ce que pourrait donner une action coordonnée ne serait-ce que d’une poignée d’individus déterminés aux quatre coins de l’hexagone.
La situation est inquiétante, il n’est pas besoin de se leurer ou de se bercer d’illusions. Faute d’un Etat catholique mettant ses efforts dans la conversion et la christianisation des populations issues de l’immigration, sans une volonté déterminé de Reconquista au nom de la chrétienté, nous courrons droit à la catastrophe. Et il faudra peu de temps avant que les signes annonciateurs du péril se transforment en une réalité terrifiante.
Mgr Lefebvre nous avait mis clairement en garde, il convient de l’écouter :
« Un proverbe musulman dit : « Baise la main que tu ne peux pas couper ». Oui, il n’y a que la force qui peut intervenir. Quand la force est présente, alors ils baisent la main. Mais quand ce sont eux qui disposent de la force: alors ils coupent la main. Cela a toujours été ainsi. Récemment, les journaux l’ont rapporté, les communautés musulmanes égyptiennes ont décrété que tout musulman qui se convertirait au catholicisme serait exécuté. Les représentants de ces communautés musulmanes voulaient absolument voir figurer cela dans la constitution, ou tout au moins voir cette décision consacrée par des accords officiels. C’est ainsi que les journaux l’ont publié, parce que c’était quelque chose d’officiel : tout musulman qui se convertirait à une autre religion subirait la peine de mort. Eh oui, on l’oublie, mais c’est cela l’islam. Pour les musulmans, il n’y a que l’islam et tout le monde devrait s’y soumettre, soit en devenant musulman, soit en étant esclave de l’islam. L’un ou l’autre. C’est ainsi qu’ils ont procédé en réduisant en esclavage tous ceux qui ne voulaient pas se soumettre. Souvenons-nous des ordres religieux : les Trinitaires et l’oeuvre de Notre-Dame de la Merci, qui ont été fondés pour aller délivrer les chrétiens captifs qui étaient retenus esclaves chez les musulmans. Ils razziaient les côtes de France, d’Espagne et de toute la Méditerranée, enlevaient des chrétiens dont ils faisaient chez eux des esclaves. Cela est encore dans leur esprit. Si on demande à un évêque de France s’il faut essayer de convertir les musulmans, qu’ils soient de France, ou qu’ils soient ailleurs, de convertir les animistes, les bouddhistes…Ah mais non! Il ne faut pas les convertir. Au contraire, il faut les affermir dans leur religion, leur faire comprendre les beauté de leur religion. C’est invraisemblable, mais c’est cependant la réalité. » (Mgr Lefebvre, C’est moi l’accusé qui devrait vous juger, Clovis, 1997)
Lire :
L’ISLAM : UNE HÉRÉSIE BLASPHÉMATOIRE
Note.
1. Notons qu’en 2003, la LICRA a également poursuivi un prêtre catholique, l’abbé Sulmont, âgé de 80 ans, qui avait la charge de huit églises de la Somme, et qui imprudemment publia dans son bulletin paroissial quelques propos plutôt sévères sur l’islam : « l’islam modéré n’existe pas. Toutes les populations infectées par la religion musulmane sont endoctrinées par le Coran (…) qui est le manuel pratique pour que s’étende le règne du démon au dépens du Royaume du Christ. […] si les familles occidentales se sont réduites en nombre d’enfants comme peau de chagrin […] les Asiatiques prolifèrent et nous envahissent, véhiculant une idéologie menaçante pour le monde entier. » Il est à remarquer que le vieux prêtre curé fut poursuivit par la LICRA avec l’assentiment de l’évêque d’Amiens, Mgr Noyer, qui le rappela à l’ordre pour cause d’islamophobie.