Le blasphème est un crime !

Publié le par WalkTsin

« Puisque le blasphémateur porte atteinte à l’honneur divin, il pèche plus gravement que l’homicide. »

(Saint Thomas d’Aquin)

 

Le Christ injurié, le blasphème institué, pire soutenu et subventionné par l’Etat et ses représentants, protégé par la police d’un pays qui fut porté créé, édifié à la suite de son adhésion à la sainte religion chrétienne lors du baptême de Clovis le 25 décembre 496 à Reims, voilà le triste spectacle après deux siècles succédant à la Révolution de 1789, offert par une société pervertie, désormais désorientée et profondément malade.

 

Le blasphème, voilà le signe des conséquences sinistres de la haine antireligieuse que transporte dans ses fourgons l’esprit révolutionnaire mis en œuvre au XVIIIe siècle, voilà à quoi aboutit une civilisation qui édifia les cathédrales, construisit châteaux, villes et monastères, et porta à un niveau inégalé la science de Dieu dans son Université au sein de laquelle surgirent les plus brillants esprits de l’Histoire, tels Pierre Lombart, saint Albert le Grand, Jean Duns Scot, saint Bonaventure ou encore saint Thomas d’Aquin.

 

I. Le blasphème est une maladie de l’âme


Le blasphème, qui est une maladie spirituelle, perd l’âme qui s’y livre et conduit en Enfer les blasphémateurs ! c’est un péché grave, une faute terrifiante. Dès le Moyen Âge, le blasphème fut regardé comme un trouble dans l’ordre de la Nature aussi bien que dans l’ordre surnaturel qui sont créés par Dieu.

 

Le blasphème envers Dieu attire donc la colère divine inévitablement !

  

Le blasphème est une « abomination damnable »

(Saint Augustin)

 

 


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