Devant le Ministère de la Justice, ils veillent debout en soutien à Nicolas
« Là, tout n’est qu’ordre et beauté, Luxe, calme et volupté. »
Hier soir déjà et aujourd’hui encore, qui traverse la place Vendôme, du côté du Ministère de la Justice, est témoin d’un spectacle bien singulier. Debout, immobile, silencieux, ils sont là, ils veillent en soutien à Nicolas, emprisonné pour avoir dit n’être pas d’accord avec nos dirigeants. Ce jugement inique s’est fait le révélateur du vrai visage de notre gouvernement. Encore un pas de plus au bord du gouffre du totalitarisme, vers lequel la démocratie vacille imprudemment. Pour dénoncer l’instrumentalisation politique de la justice française, tous les regards se tournent vers la source ultime de ces maux, le Ministère de Taubira, le mal nommé : un Palais qui n’a de juste que le nom.
Le regard clair, franc, droit, leur présence impose sur les pavés. Leur détermination édifie les passants et inquiète le personnel du ministère. Leur attitude interroge. On les questionne, ils répondent. « Qu’attendez-vous ? », « Nous attendons la libération de Nicolas… » Interloqués : »Va-il sortir, là ? », « Non, il est en prison » « Allez-vous attendre longtemps ? », « Autant qu’il le faudra ». Les bras lui en tombent, et cette personne n’oubliera pas de sitôt cette marquante rencontre.
Selon le rouge et le noir, la police demande la dispersion à 17h30

Taubira regarde de sa fenêtre, les Veilleurs Debout lui font un signe de la main alors que le panier à salade est prêt.